Hello les
enacteurs !
J’espère que tout
se passe bien sur Lyon et que vous n’avez pas trop souffert du froid ! Je
vous écris depuis Glasgow où il neige depuis ce matin…. Chouette !
Je voulais prendre
quelques nouvelles de vous, de l’assoc’, des projets, et aussi vous dire que
malgré tout le boulot que j’ai, je ne vous oublie pas ! Grâce à Facebook,
je vois qu’Enactus ESDES prend de l’ampleur, et que de nouveaux projets se sont
rajoutés. C’est super ! Il faudra que vous me racontiez tout ça
prochainement. L’ambiance
d’Enactus ESDES me manque. Certes, ici à Strathclyde il y a une assoc’, mais je
les trouve un peu mous du genou ! Je n’arrive pas trop à savoir combien il
y a de membres. Je dirais pas plus de
35 ! Pour ce qui est des membres actifs, ça ne doit pas dépasser le
10…Dommage pour une fac avec plus de 30 000 étudiants ! L’avantage,
c’est qu’on vient de tous les domaines, et que du coup les savoir-faire sont
variés !
Avant cette année, c’était la seule équipe
d’Ecosse à participer à Enactus UK mais 3 équipes se sont rajoutées à la
compet’, du coup ils balisent un peu tous ! A vrai dire, ça se comprend,
ici en Angleterre, il y a des régionales… donc deux fois plus de boulot pour arriver
en finale ! C’est là que je me suis rendue compte qu’on a de la chance en
France, avec les challenges (ça n’existe pas ici), et aussi Enactus France qui
est beaucoup plus dévoué par rapport à ici. Apparemment, les BAB sont bien plus
importants ici qu’en France. Par contre, les tuteurs sont inutiles (on n’a
encore jamais vu ni parlé à notre contact local !). Bref ce n’est pas très
bien encadré et pas très motivant (aucune communication n’a été faite sur le
weekend des team-leaders par exemple…).
Pour ce qui est des
projets, ici aussi c’est un peu difficile! Trouver de nouvelles idées est
galère. J’ai rejoint un projet visant à aider des SDF à retrouver un travail,
mais il a du mal à décoller. On fait meeting sur meeting pour rien… et j’avoue
qu’avec mes cours et mon emploi du temps, je n’ai pas forcément de temps à
consacrer pour tout reprendre en profondeur. Bref, il y a bien peu de chances
qu’on se retrouve à Cancun cette année !
En tout cas, mon
cœur est toujours à l’ESDES, et j’espère bien que vous me tiendrez au courant
des avancées !
A très bientôt,
Quentin